Le
créateur de mode David Vincent Camuglio s'est implanté à Paris et
est à présent mondialement reconnu. Ses obsessions de mode tournent autour de l'anatomie humaine tout en
s'inspirant, parallèlement, de l'art contemporain, tels que Anselm
Kiefer et Pierre Soulages. Le tout est finalisé par des flashes qui
lui permettent de raconter des histoires et de l'âme de David
Vincent Camuglio.
Avant
d'être un conteur d'histoires à travers ses créations, David
Vincent Camuglio a commencé son cursus en faisant différentes
écoles de mode Parisiennes. Ensuite, il a fait différents stages
chez des créateurs, il a aussi été l'assistant d'un créateur New
Yorkais. Et en 2000 ce fût le lancement de la marque à son nom :
David Vincent Camuglio.
Actuellement,
il mène une vie artistique à cent à l'heure : Lever à 6H, coucher
à 2H / 3H, voyager, élaborer les nouvelles collections en 6 mois...
“ J'ai toujours su que je ferai de la mode.”, m'affirme
t-il.
Mesdames,
Messieurs, bienvenue dans le monde pointu de DVC !
Lux
June : « Parle-moi de ton parcours professionnel jusqu'à
maintenant ? »
DVC :
« Écoles de mode à Paris, puis une année chez un créateur à
NYC puis retour à Paris où j'ai démarré ma vision personnelle de
mode. »
Lux
June : «Parle-moi de ton métier, des clients (les visés et
les différents types) et tâches globales à accomplir lors
d'une commande, d'une vente et d'un défilé ? »
DVC :
« La
mode est une industrie, donc en dehors de la création, le reste est
de l'organisation : présenter, vendre, produire et livrer dans
les temps. Je fais du prêt-à-porter de luxe, actuellement ma marque
est vendue dans le monde entier. »
Lux
June : «Décris-moi le décor et le fonctionnement de ton lieu
de travail ? »
DVC :
« Un atelier à St-Germain Des Prés où je dessine et je
décide de tout, puis un showroom tout près de l'Opéra Garnier où
je présente sur rendez-vous mes collections. »
Lux
June : «Et pour te laisser le fin mot de cette interview,
définis-moi le mot "mode" ? »
DVC :
«Une passion face à une grosse industrie. »